Quand je pleure d’ être heureux,
Il me semble subtil,
De rajouter la goutte,
Qui vient mettre le doute,
Sur ma vision tordue,
De courir les pieds nus,
Et mon rosaire au cou,
108 fois je répète,
Que je t’ aime comme un fou,
Mais je pars l’ Inde au coeur,
Suivi de la magie,
Inhérente à ma vie.
super tes derniers poèmes et genial de les illustrer avec les beaux tableaux de Valerie
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